Ferrari Testarossa

1989 / 50 800 km

Sale price€129.000,00

- Modèle mythique
- Historique limpide
- Parfait état

Specifications

Brand

Ferrari

Model

Testarossa

Year

1989

DUDE

Fiscal Power

34.0

Cylinder capacity

4.943

Transmission type

Propulsion

Recoverable VAT

Non

Mileage

50800

Interior color

Noir

Exterior color

Rouge

Fuel

Essence

Gearbox

Manuelle

Historique

La Testarossa. Une auto qu’on connaît tellement qu’on en oublie qu’elle a une vraie histoire. Et que c’est la descendante d’une lignée déjà bien ancrée dans l’histoire de Maranello quand elle apparaît. Elle prend en effet la suite de la 365 GT4 BB, puis de la 512 BB et enfin de la 512 BBi. Ces autos sont les premières sportives de route, frappées du Cavalino Rampante et qui ont recours au moteur central arrière.

Les premières Berlinettes, le début d’une longue série. Elle est dévoilée au Lido à Paris, endroit rêvé vu ses formes callipyges avant d’être exposée au Mondial de Paris en 1984. Son nom, elle l’emprunte à la 250 Testa Rossa, modèle de course mythique de la Scuderia de la fin des années 50. Techniquement parlant elle reprend le châssis de la 512 BBi et son moteur avec quand même 50 chevaux en plus. Pour le style, elle est dans l’air du temps. Fioravanti a fait du bon travail chez Pininfarina avec des lignes tendues et un rétro bien seul sur le côté gauche, le Monospecchio qui deviendra mythique. Devenue icône en moins de temps qu’il faut pour le dire, elle va cependant vite évoluer. En 1986 les rétros sont plus bas et placés de chaque côté. En 1988 les roues abandonnent l’écrou central et les TRX. En 1991 la Ferrari Testarossa est remplacée par la 512 TR qui garde une forme similaire à quelques détails près. Surtout on retravaille le moteur, la boîte, les trains, les roues et l’embrayage. En 1994 c’est la F512 M qui prend le relai pour un dernier baroud d’honneur avec une face avant totalement revue faisant disparaître les phares escamotables. La présence d'une Testarossa est réellement impressionnante. Au delà de sa seule plastique, c’est le mythe attaché à cette auto qui saute aux yeux.

Connaisseur ou amateur, si l’automobile vous intéresse vous savez reconnaître une Ferrari Testarossa. La belle est donc basée sur la 512. Mais au niveau de l’esthétique, il n’y a rien à voir. Fioravanti et son équipe se sont lâché mais aucune forme n’est là par hasard. La face avant est basse, très basse. La calandre est minimaliste, une grille rectangulaire flanquée des appels de phares et des clignotants. En dessous le spoiler est discret, noir, pas torturé. Au-dessus le gros capot est monobloc. Pas de grille d’aération non plus et une forme doucement arrondie. En fait l’avant c’est la partie discrète de la Testa. Dès qu’on passe au profil, c’est tout à fait autre chose. L’arche de roue avant est reculé et la portière est juste derrière. Les roues à 5 écrous, moins originales que les premières mais qui offrent un vrai plus techniquement offrent un dessin très Ferrari. Les vitres latérales sont certainement ce qui rapproche le plus notre Ferrari Testarossa des 512. Et encore, on a gagné en angles, en surface aussi. C’est beaucoup plus moderne. Mais ce sont surtout les flancs de notre belle rouge qu’on peut admirer sur ce profil. Déjà une des signatures de la Ferrari Testarossa : ses stries. Devenues mythiques, elles permettent en fait de ne pas laisser un trou béant dans le flanc puisque c’est bien vers les entrées d’air des radiateurs latéraux qu’elles mènent. On retrouve également le faux aileron de l’italienne. Regardez bien cette ligne de caisse qui dessine une aile arrière. Oui, ce dessin est également important pour l’aéro et assoit la voiture en plus d’envelopper l’énorme popotin de la belle italienne. L’arrière est tout aussi impressionnant… voir plus. Finie la finesse de l’avant. L’aéro a créé cet arrière haut qui retombe à la verticale. De ce côté là, et contrairement à l’avant, on retrouve un vrai pare-chocs. En dessous, pas de diffuseur, restons polis, dans les années 80 le tuning ne s’était pas invité sur toute auto un tant soit peu sportive. Par contre on retrouve les deux doubles sorties d’échappement bien insérés dans un bouclier classique. Cet arrière est large, il faut dire que la voie arrière a gagné… 10cm entre la BB 512i et la Ferrari Testarossa (la largeur totale passant de 1,83m à 1.98 m !) et il est barré par une bande rejetant les feux aux extrémités et strié comme les flancs. On oublierait presque de parler du capot moteur avec son couvercle rouge bien abrité entre deux arches massives. Ce capot moteur abrite pourtant le mythique 12 cylindres à plat (aux culasses peintes en rouge) offrant 390ch.

Ces 12 cylindres de la Ferrari Testarossa s'animent sans vibration, avec une régularité de fonctionnement incroyable. Très vif, linéaire et souple, le 5L Ferrari procure un plaisir rare, autant par sa beauté sculpturale, que par les sensations uniques qu'il distille au volant. Sa sonorité caractéristique, aujourd'hui disparue de la production mondiale, n'est pas sans nous donner un petit pincement au coeur... La boîte de vitesse à 5 rapports est placée sous le moteur, dont le carter sec réduit l'encombrement en hauteur. Au même titre que pour la mécanique, le comportement routier de la Ferrari Testarossa représente "l'accord parfait". Car cette sublime GT est aussi agréable et facile à mener que performante et efficace. Bâtie sur un classique châssis tubulaire en acier, la Ferrari Testarossa hérite d'un savoir-faire issu de la compétition et sa robe est aussi belle que bien étudiée. Aérodynamiquement, la Testarossa est une des rares automobiles à pouvoir approcher les 300 Km/h tout en gardant une tenue de route sûre et précise. Ainsi, la Ferrari Testarossa conserve un excellent appui sur l'arrière et l'avant, ce qui lui permet de se dispenser de la présence d'un aileron disgracieux.

  • 28 Mars 1989: Livraison du véhicule neuf par la Garage Francorchamps - Ferrari Bruxelles
  • 5 Juin 1989 : Entretien après livraison par le Garage Francorchamps
  • 8 Octobre 1990 : Entretien par le Garage Francorchamps à 10.841km
  • 5 Janvier 2001 : Changement de propriétaire
  • 26 Juillet 2001 : Entretien par le Garage Le Sport - Concessionnaire Ferrari Marseille à 15.329km
  • 9 Octobre 2002 : Expertise de valeur du véhicule à 19.584km
  • 27 Avril 2009 : Passage au contrôle technique à 24.818km
  • 15 Mai 2009 : Changement de propriétaire
  • 29 Septembre 2009 : Entretien par les Ets Ch. Pozzi à 27.699km
  • 6 Avril 2012 : Changement de propriétaire
  • 17 Avril 2012 : Passage au contrôle technique à 31.876km
  • 11 Mai 2012 : Petit entretien par Fiorano Racing à 32.735km
  • 2 Avril 2014 : Passage au contrôle technique à 41.248km
  • 23 Décembre 2015 : Grand entretien par Fiorano Racing à 46.684km
  • 4 Avril 2016 : Passage au contrôle technique à 47.574km
  • 28 Juin 2016 : Changement de propriétaire à 48.238km
  • 28 Juillet 2017 : Expertise de valeur du véhicule à 49.488km
  • 11 Avril 2018 : Passage au contrôle technique à 49.643km
  • 20 Janvier 2020 : Expertise du véhicule à 50.163km
  • 27 Mai 2020 : Passage au contrôle technique à 50.227km
  • 12 Mai 2022 : Entretien le Garage des Forges, incluant le remplacement des courroies de distribution, à 50.263km
  • 7 Juin 2022 : Passage au contrôle technique à 50.332km

 

La Testarossa. Une auto qu’on connaît tellement qu’on en oublie qu’elle a une vraie histoire. Et que c’est la descendante d’une lignée déjà bien ancrée dans l’histoire de Maranello quand elle apparaît. Elle prend en effet la suite de la 365 GT4 BB, puis de la 512 BB et enfin de la 512 BBi. Ces autos sont les premières sportives de route, frappées du Cavalino Rampante et qui ont recours au moteur central arrière.

Les premières Berlinettes, le début d’une longue série. Elle est dévoilée au Lido à Paris, endroit rêvé vu ses formes callipyges avant d’être exposée au Mondial de Paris en 1984. Son nom, elle l’emprunte à la 250 Testa Rossa, modèle de course mythique de la Scuderia de la fin des années 50. Techniquement parlant elle reprend le châssis de la 512 BBi et son moteur avec quand même 50 chevaux en plus. Pour le style, elle est dans l’air du temps. Fioravanti a fait du bon travail chez Pininfarina avec des lignes tendues et un rétro bien seul sur le côté gauche, le Monospecchio qui deviendra mythique. Devenue icône en moins de temps qu’il faut pour le dire, elle va cependant vite évoluer. En 1986 les rétros sont plus bas et placés de chaque côté. En 1988 les roues abandonnent l’écrou central et les TRX. En 1991 la Ferrari Testarossa est remplacée par la 512 TR qui garde une forme similaire à quelques détails près. Surtout on retravaille le moteur, la boîte, les trains, les roues et l’embrayage. En 1994 c’est la F512 M qui prend le relai pour un dernier baroud d’honneur avec une face avant totalement revue faisant disparaître les phares escamotables. La présence d'une Testarossa est réellement impressionnante. Au delà de sa seule plastique, c’est le mythe attaché à cette auto qui saute aux yeux.

Connaisseur ou amateur, si l’automobile vous intéresse vous savez reconnaître une Ferrari Testarossa. La belle est donc basée sur la 512. Mais au niveau de l’esthétique, il n’y a rien à voir. Fioravanti et son équipe se sont lâché mais aucune forme n’est là par hasard. La face avant est basse, très basse. La calandre est minimaliste, une grille rectangulaire flanquée des appels de phares et des clignotants. En dessous le spoiler est discret, noir, pas torturé. Au-dessus le gros capot est monobloc. Pas de grille d’aération non plus et une forme doucement arrondie. En fait l’avant c’est la partie discrète de la Testa. Dès qu’on passe au profil, c’est tout à fait autre chose. L’arche de roue avant est reculé et la portière est juste derrière. Les roues à 5 écrous, moins originales que les premières mais qui offrent un vrai plus techniquement offrent un dessin très Ferrari. Les vitres latérales sont certainement ce qui rapproche le plus notre Ferrari Testarossa des 512. Et encore, on a gagné en angles, en surface aussi. C’est beaucoup plus moderne. Mais ce sont surtout les flancs de notre belle rouge qu’on peut admirer sur ce profil. Déjà une des signatures de la Ferrari Testarossa : ses stries. Devenues mythiques, elles permettent en fait de ne pas laisser un trou béant dans le flanc puisque c’est bien vers les entrées d’air des radiateurs latéraux qu’elles mènent. On retrouve également le faux aileron de l’italienne. Regardez bien cette ligne de caisse qui dessine une aile arrière. Oui, ce dessin est également important pour l’aéro et assoit la voiture en plus d’envelopper l’énorme popotin de la belle italienne. L’arrière est tout aussi impressionnant… voir plus. Finie la finesse de l’avant. L’aéro a créé cet arrière haut qui retombe à la verticale. De ce côté là, et contrairement à l’avant, on retrouve un vrai pare-chocs. En dessous, pas de diffuseur, restons polis, dans les années 80 le tuning ne s’était pas invité sur toute auto un tant soit peu sportive. Par contre on retrouve les deux doubles sorties d’échappement bien insérés dans un bouclier classique. Cet arrière est large, il faut dire que la voie arrière a gagné… 10cm entre la BB 512i et la Ferrari Testarossa (la largeur totale passant de 1,83m à 1.98 m !) et il est barré par une bande rejetant les feux aux extrémités et strié comme les flancs. On oublierait presque de parler du capot moteur avec son couvercle rouge bien abrité entre deux arches massives. Ce capot moteur abrite pourtant le mythique 12 cylindres à plat (aux culasses peintes en rouge) offrant 390ch.

Ces 12 cylindres de la Ferrari Testarossa s'animent sans vibration, avec une régularité de fonctionnement incroyable. Très vif, linéaire et souple, le 5L Ferrari procure un plaisir rare, autant par sa beauté sculpturale, que par les sensations uniques qu'il distille au volant. Sa sonorité caractéristique, aujourd'hui disparue de la production mondiale, n'est pas sans nous donner un petit pincement au coeur... La boîte de vitesse à 5 rapports est placée sous le moteur, dont le carter sec réduit l'encombrement en hauteur. Au même titre que pour la mécanique, le comportement routier de la Ferrari Testarossa représente "l'accord parfait". Car cette sublime GT est aussi agréable et facile à mener que performante et efficace. Bâtie sur un classique châssis tubulaire en acier, la Ferrari Testarossa hérite d'un savoir-faire issu de la compétition et sa robe est aussi belle que bien étudiée. Aérodynamiquement, la Testarossa est une des rares automobiles à pouvoir approcher les 300 Km/h tout en gardant une tenue de route sûre et précise. Ainsi, la Ferrari Testarossa conserve un excellent appui sur l'arrière et l'avant, ce qui lui permet de se dispenser de la présence d'un aileron disgracieux.

  • 28 Mars 1989: Livraison du véhicule neuf par la Garage Francorchamps - Ferrari Bruxelles
  • 5 Juin 1989 : Entretien après livraison par le Garage Francorchamps
  • 8 Octobre 1990 : Entretien par le Garage Francorchamps à 10.841km
  • 5 Janvier 2001 : Changement de propriétaire
  • 26 Juillet 2001 : Entretien par le Garage Le Sport - Concessionnaire Ferrari Marseille à 15.329km
  • 9 Octobre 2002 : Expertise de valeur du véhicule à 19.584km
  • 27 Avril 2009 : Passage au contrôle technique à 24.818km
  • 15 Mai 2009 : Changement de propriétaire
  • 29 Septembre 2009 : Entretien par les Ets Ch. Pozzi à 27.699km
  • 6 Avril 2012 : Changement de propriétaire
  • 17 Avril 2012 : Passage au contrôle technique à 31.876km
  • 11 Mai 2012 : Petit entretien par Fiorano Racing à 32.735km
  • 2 Avril 2014 : Passage au contrôle technique à 41.248km
  • 23 Décembre 2015 : Grand entretien par Fiorano Racing à 46.684km
  • 4 Avril 2016 : Passage au contrôle technique à 47.574km
  • 28 Juin 2016 : Changement de propriétaire à 48.238km
  • 28 Juillet 2017 : Expertise de valeur du véhicule à 49.488km
  • 11 Avril 2018 : Passage au contrôle technique à 49.643km
  • 20 Janvier 2020 : Expertise du véhicule à 50.163km
  • 27 Mai 2020 : Passage au contrôle technique à 50.227km
  • 12 Mai 2022 : Entretien le Garage des Forges, incluant le remplacement des courroies de distribution, à 50.263km
  • 7 Juin 2022 : Passage au contrôle technique à 50.332km