Toyota Land Cruiser Station Wagon HDJ80 4.2 VX

1991 / 300 300 km


Specifications

Marque

Toyota

Année

1991

M.E.C.

Puissance Fiscale

17.0

Cylindrée

4.164

TVA récupérable

Non

Kilométrage

300 300 km

Couleur intérieure

Marron

Couleur extérieure

Beige

Carburant

Diesel

Boîte de vitesse

Manuelle

Genève 1990., Toyota présente à l'Europe sa nouvelle génération de Toyota Land Cruiser SW (Station Wagon), la série 80, motorisée par un moteur essence de quelques 156 chevaux. Mais quelques mois plus tard arrivait la version diesel destinée au marché français. Sous le capot, un moteur d'anthologie. Il faut savoir qu'à l'époque, le diesel de série le plus puissant était la Mercedes 300D Turbo (143 ch) et que le 4x4 diesel le plus puissant était justement le Toyota Land Cruiser SW, il s'agissait alors du HJ61 (136 ch). Même en cherchant dans les 4x4 à essence, on ne trouve rien au-dessus des 182 ch du Range Rover. Mais Toyota va profondément revoir le pourtant fameux 4 litres turbo-diesel du HJ61. Il passera à 4.2 litres, adoptera un arbre à cames en tête, une pompe et des injecteurs différents, ce qui une fois optimisé donnera une puissance de quelques 167 chevaux (soit 11 de plus que la version à essence !) et surtout 36.7 mkg à 1800 tr/min, contre 32.1 mkg pour son prédécesseur et 31.8 mkg au Range Rover le plus élaboré ! La référence en matière de 4x4 turbo-diesel d'alors, le récent Patrol GR, est loin derrière (115 chevaux et seulement 24.0 mkg). Côté châssis et liaisons au sol, on a gardé le meilleur du Land Cruiser précédent (deux essieux rigides, châssis échelle) tout en s'inspirant de ce qui se fait chez la concurrence. Comme le Patrol GR, la nouvelle série 80 adopte des ressorts hélicoïdaux, gage de confort (sur route comme sur piste), de tenue de route, mais aussi de débattement en franchissement. Pour l'occasion, et afin de remédier à un défaut de la série 60, les freins arrières adoptent des disques. La transmission aussi évolue. Vu la puissance et le couple disponible, un schéma à 4 roues motrices en permanence via 3 vrais différentiels est adopté. Et cette transmission va de paire avec le blocage de ces trois différentiels. En terme d'équipements, notre version VX s'équipe d'origine de la climatisation, du toit ouvrant électrique et d'un treuil mécanique. Aujourd'hui encore, lorsque l’on évoque le Toyota HDJ 80, l’on pense immédiatement au grandes étendues désertiques, aux raids africains, aux voyages au long cours. Confort, fiabilité et performances ont bâti la réputation du HDJ 80 qui demeure encore aujourd’hui l'un des 4×4 les plus prisés par tous ceux qui rêvent d’évasion. Malgré l’apparition de ses successeurs (HDJ100 et VDJ200) sur le marché de l’occasion, sa cote ne faiblit pas bien au contraire... Surtout lorsque l'exemplaire proposé s'appuie sur un entretien solide et une préparation permettant d'envisager une liberté d'évasion absolue. Notre HDJ 80 présente bien de l'intérêt à cet égard, plus de 11.000€ lui ont été consacrés ces deux dernières années :
  • Remplacement du boitier de direction
  • Remplacement des ressorts de suspension avant & arrière
  • Remplacement des amortisseurs avant et arrière
  • Remplacement de la courroie de distribution
  • Remplacement de la pompe à eau
  • Remplacement du calorstat
  • Remplacement des roulements de roue
  • Remplacement de la ligne d'échappement par un ligne performances
  • Installation d'un snorkel
  • Remplacement des courroies accessoires
  • Remplacement de l'amortisseur de direction
  • Remplacement des silent-blocs de barre stabilisatrice
  • Remplacement de la pompe de direction assistée
  • Remplacement des 4 pneus
  • Remplacement des 4 jantes
  • Remplacement des plaquettes de frein avant et arrière
  • Remplacement de l'Intercooler air/eau
  • Révision de la pompe à injection
  • Remplacement de l'embrayage complet
  • Réfection de la boîte de vitesse
  • Réfection du volant moteur